die lausanner gruppe symphologic entsendet einige vertreter mit ihren laptops nach st gallen und gibt einblick in ihre arbeit, die zwischen akustischer und digitaler improvisierter musik und videoperformance anzusiedeln ist.
selber beschreiben die zeitweilig zu siebt auftretenden musiker ihre tätigkeit so: «bei symphologic arbeitet jeder auf einem nüchternen titanium kommend von jazz, rock, klassik, theater, show business, der neuen economie oder von nirgendwo, was symphologic befremdenderweise verbindet. dank des spannenden kulturellen backrounds kreiert symphologic, jeder musiker auf seine art und doch zusammen, ein einzigartiges erlebnis. 7, nicht immer sichtbare musiker, improvisieren multimediale happenings.»
im projektraum exex werden am 14. januar folgenden symphologisten erwartet:
pierre-andré aebischer guitares, informatique, diffusion multidimensionnelle. commencée sur des amplis noirs et surchauffés, des guitares et des boutons un peu tous sur dix, ou plus si possible, avec des vrais concerts et des vrais musiciens, des vrais guitaristes et même des batteurs, son expérience musicale se poursuit par l’écriture de musiques de documentaires, films publicitaires, la sonorisation de jeux vidéos et la mise en son de spectacles en plein air. l’envie d’intégrer la puissance créative d’un ordinateur moderne à l’émotion et l’intensité d’un spectacle réel et improvisé l’a amené vers le projet symphologic.
nicolas bonstein, flûte traversière, wi-fi, guitare, laptop, compositeur et re-mixeur. a touché son premier instrument à l’âge de 8 ans, une flûte avec de la fourrure au bout. s’en suit une série de sauts de puce qui le mèneront dans plusieurs mondes plus ou moins harmoniques comme la guggen music, la comédie musicale, la variété (très peu) le blues, le rock (dans quelques formations « abris anti-atomique ») et l’électro. de ses rencontres avec lee maddeford et pierre-andré aebischer naîtront plusieurs projets et collaborations dont symphologic.
ben merlin élevée aux pink floyd, traverse le punk et les années 80, tout en jouant la castafiore assiste à la naissance des machines. elle décide de les mettre au service de la narration et se lance dans toutes sortes d'expérimentations, objets théâtraux, musicaux, filmiques, picturaux. transformer la machine en un partenaire direct, importance de l'improvisation, d'une sensation live. faire surgir l'émotion, la sensualité, donner corps.
bruno deville, cinéaste et bidouilleur d’images vidéos. commence par la peinture, mais arrive vite à l’image en mouvement par la vidéo qu’il expérimente comme un pinceau. belge, venu en suisse pour étudier le cinéma à l’ecole cantonal d’art de lausanne. réalise et écrit des courts-métrages de fiction, dont « la bouée », court-métrage en 35mm de 25 minutes qui reçoit le special jury price au festival international de locarno en 2000, et « viandes » court-métrage en 35mm de 11 minutes qui vient de recevoir le grand prix du jury des jeunes au festival international de locarno en 2003. poésie et musique de l’image, low-tech, trames, grains, textures, et effets visuels au tournant …
special guest : guitos de fabrik (www.thefabrik.com). un parcours très underground qui passe par un punk des plus sonic pour aboutir dans la minimale électro. guitos joue tout dans la finesse des harmonies de ses samples qu’il façonne avec une finesse tellement particulière.
> detaillierte informationen unter www.symphologic.com und
> die bildergalerie zum auftritt im projektraum exex.
leitung alex meszmer
